DANSER
La première fois que j’ai vu de la danse, c’était sur internet. Une fille qui faisait le grand écart. Cela m’a motivée. Je voulais être comme elle.
Dès lors, je regardais des spectacles et des compétitions.Tous les jours je dansais dans le salon, et devenais meilleure de jour en jour.
Mon premier spectacle fut pour mon père. Il me disait que j’avais du talent, que j’exprimais plein d’émotions, que j’étais souple. Alors j’ai cru en moi. Je regardais toujours des vidéos et j’adorais cela. Je m’imaginais danser dans une vraie école ... Quelques mois plus tard, je ne pouvais plus m’arrêter. Même au supermarché, je ne faisais que danser. Parfois je tombais et me faisais mal. Je pleurais ou me relevais comme les grandes danseuses de l’Opéra.
Je voulais danser de plus en plus. Je travaillais le classique, le jazz et le hip-hop. J’essayais même les claquettes !
La danse me donnait des frissons et ma passion augmentait de jour en jour.
Certains me reprochent de trop danser. Ce n’est pas de ma faute, rien n’arrête une passion. Alors je leur réponds : « Désolée, je ne savais pas que c’était mal de vivre à fond sa passion… »
Ilona.S 6ème 2
La première fois que j’ai vu de la danse, c’était sur internet. Une fille qui faisait le grand écart. Cela m’a motivée. Je voulais être comme elle.
Dès lors, je regardais des spectacles et des compétitions.Tous les jours je dansais dans le salon, et devenais meilleure de jour en jour.
Mon premier spectacle fut pour mon père. Il me disait que j’avais du talent, que j’exprimais plein d’émotions, que j’étais souple. Alors j’ai cru en moi. Je regardais toujours des vidéos et j’adorais cela. Je m’imaginais danser dans une vraie école ... Quelques mois plus tard, je ne pouvais plus m’arrêter. Même au supermarché, je ne faisais que danser. Parfois je tombais et me faisais mal. Je pleurais ou me relevais comme les grandes danseuses de l’Opéra.
Je voulais danser de plus en plus. Je travaillais le classique, le jazz et le hip-hop. J’essayais même les claquettes !
La danse me donnait des frissons et ma passion augmentait de jour en jour.
Certains me reprochent de trop danser. Ce n’est pas de ma faute, rien n’arrête une passion. Alors je leur réponds : « Désolée, je ne savais pas que c’était mal de vivre à fond sa passion… »
Ilona.S 6ème 2