Les collégiennes au quotidien
Notre histoire sortira environ tous les 15 jours. Nous allons vous raconter la vie de Samantha et d'Andréa, deux jeunes filles de 12 ans, au collège St François, ancien manoir.
*
Le collège St François a trois ailes : l'aile gauche (où il y a les cours, l'infirmerie et l'étage administratif ), l'aile centrale (avec les dortoirs et le self) et l'aile droite... Le collège a aussi un terrain de basket, un de foot, une piscine couverte et une plus petite découverte, un potager (seul le personnel de la cantine peut y entrer), une grande cour et un gymnase.
Je m' appelle Samantha Ganouep, j'ai 12 ans et je suis franco-japonaise.
J'ai les yeux bruns et en amandes et les cheveux courts et bruns.
Avant je vivais au japon à Tokyo, mais ma mère a été mutée en France. Mon père, Richard, qui est avocat vivait déjà en France car il est français.
Ma mère, Yumi, est docteur et japonaise. Je préfère qu'on m'appelle Sam.
Aujourd'hui c'est la rentrée d'après Noël. Je viens à peine de passer le portail du collège St François (qui est une pension) lorsqu'une voix m'interpelle :
«Tu es nouvelle ?
- Oui, répondis-je en me retournant. »
Derrière moi se tenait une jeune fille d'une douzaine d'années, les yeux verts, les cheveux noirs et la peau claire.
La jeune fille reprit :
« Je m'appelle Andréa dit-elle avec un accent Américain, et toi ?
- Je m'appelle Samantha lui ai-je répondu avec mon accent japonais.
- En quelle classe es-tu ?
- En 5èmeA .
- Cool ! Moi aussi, on est dans la même classe.»
*
« - antha … mante … Samantha … SAMANTHA!!! C'est la nuit qu'il faut dormir ! Puisque vous sembler être tellement passionnée par mon cours de
physique vous allez revenir ce soir pour rattraper le cours ! Andréa, toi qui est délégué, amène notre amie Samantha chez le proviseur.»
« Pourquoi tu dormais ? me demanda Andréa dans le couloir.
- C'est à cause du décalage horaire. Chez moi, au Japon, il n'est pas 11h30 mais il est 20h30. »
Andréa frappa à la porte du bureau du proviseur, nous sommes entrées. Elle a raconté la moitié des faits au proviseur (elle n'a pas précisé que toute la classe dormaient tellement le cours du professeur Folio est soporifique ) et a quand même ajouté que le professeur Folio m'avait collée une heure ce soir.
*
Comme c'est jeudi, ce soir c'est steak-frites.
Il n'y a rien de meilleur que les steak-frites de Mme Minchin. Comme d'habitude, je m'assois en face d'Andréa. Elle me sort (encore) qu'elle veut explorer l'aille droite du collège ce soir : personne n'y a jamais mis les pieds à ce qu'il paraît. Je suis tellement fatiguée que je lui réponds :
« Okay, mais on se repose d'abord.
- Et faut pas se faire avoir par Bart .
- Parfait, répondis-je en tombant de fatigue dans mon assiette. »
Bart est le surveillant de nuit qui s'occupe de l'extinction des feux et que tout le monde appelle Bart-le-dragon. Personne ne sait quel âge il a, mais on lui donne environ un million d'années (minimum).
*
Bart venait de finir l’extinction des feux lorsqu'une ombre se releva et se dirigea vers sa voisine.
« - Sam ! Sam ! Sam ! Réveille toi !
- Mmmh. Il est que 23h 30.
- Justement il faut qu'on y aille.
- Où ça ?
-Ne m'oblige pas à … »
Soudain Andréa disparaît dans la salle de bain (oui, chaque chambre (4 personnes) est équipée d'une salle de bain.) et réapparaît un verre d'eau glacé à la main. Elle le verse sur la tête de Sam qui devient bleu puis aurait hurlée si Andréa ne lui avait pas mis la main sur la bouche. Cette dernière s'excuse en disant que c'était la seule chose capable de me réveiller. Nous nous sommes équipées de lampes de poches et d'un appareil photo. Nous sommes sorties de la chambre, avons traversé le couloir, descendu les escaliers (on s'est retrouvées à l'étage des garçons), avons encore descendu les marches sous les ronflements (très discrets ! ) des garçons et nous sommes passées à côté de la chambre de Bart (qui ronflait lui aussi ).
Les autres professeurs dorment au-dessus de l'étage des filles.
Nous nous sommes retrouvées dans le self.
Soudain un grincement retentit et nous nous sommes retournées toutes les deux. Une énorme lueur nous éblouit …
A suivre…
Notre histoire sortira environ tous les 15 jours. Nous allons vous raconter la vie de Samantha et d'Andréa, deux jeunes filles de 12 ans, au collège St François, ancien manoir.
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Le collège St François a trois ailes : l'aile gauche (où il y a les cours, l'infirmerie et l'étage administratif ), l'aile centrale (avec les dortoirs et le self) et l'aile droite... Le collège a aussi un terrain de basket, un de foot, une piscine couverte et une plus petite découverte, un potager (seul le personnel de la cantine peut y entrer), une grande cour et un gymnase.
Je m' appelle Samantha Ganouep, j'ai 12 ans et je suis franco-japonaise.
J'ai les yeux bruns et en amandes et les cheveux courts et bruns.
Avant je vivais au japon à Tokyo, mais ma mère a été mutée en France. Mon père, Richard, qui est avocat vivait déjà en France car il est français.
Ma mère, Yumi, est docteur et japonaise. Je préfère qu'on m'appelle Sam.
Aujourd'hui c'est la rentrée d'après Noël. Je viens à peine de passer le portail du collège St François (qui est une pension) lorsqu'une voix m'interpelle :
«Tu es nouvelle ?
- Oui, répondis-je en me retournant. »
Derrière moi se tenait une jeune fille d'une douzaine d'années, les yeux verts, les cheveux noirs et la peau claire.
La jeune fille reprit :
« Je m'appelle Andréa dit-elle avec un accent Américain, et toi ?
- Je m'appelle Samantha lui ai-je répondu avec mon accent japonais.
- En quelle classe es-tu ?
- En 5èmeA .
- Cool ! Moi aussi, on est dans la même classe.»
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« - antha … mante … Samantha … SAMANTHA!!! C'est la nuit qu'il faut dormir ! Puisque vous sembler être tellement passionnée par mon cours de
physique vous allez revenir ce soir pour rattraper le cours ! Andréa, toi qui est délégué, amène notre amie Samantha chez le proviseur.»
« Pourquoi tu dormais ? me demanda Andréa dans le couloir.
- C'est à cause du décalage horaire. Chez moi, au Japon, il n'est pas 11h30 mais il est 20h30. »
Andréa frappa à la porte du bureau du proviseur, nous sommes entrées. Elle a raconté la moitié des faits au proviseur (elle n'a pas précisé que toute la classe dormaient tellement le cours du professeur Folio est soporifique ) et a quand même ajouté que le professeur Folio m'avait collée une heure ce soir.
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Comme c'est jeudi, ce soir c'est steak-frites.
Il n'y a rien de meilleur que les steak-frites de Mme Minchin. Comme d'habitude, je m'assois en face d'Andréa. Elle me sort (encore) qu'elle veut explorer l'aille droite du collège ce soir : personne n'y a jamais mis les pieds à ce qu'il paraît. Je suis tellement fatiguée que je lui réponds :
« Okay, mais on se repose d'abord.
- Et faut pas se faire avoir par Bart .
- Parfait, répondis-je en tombant de fatigue dans mon assiette. »
Bart est le surveillant de nuit qui s'occupe de l'extinction des feux et que tout le monde appelle Bart-le-dragon. Personne ne sait quel âge il a, mais on lui donne environ un million d'années (minimum).
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Bart venait de finir l’extinction des feux lorsqu'une ombre se releva et se dirigea vers sa voisine.
« - Sam ! Sam ! Sam ! Réveille toi !
- Mmmh. Il est que 23h 30.
- Justement il faut qu'on y aille.
- Où ça ?
-Ne m'oblige pas à … »
Soudain Andréa disparaît dans la salle de bain (oui, chaque chambre (4 personnes) est équipée d'une salle de bain.) et réapparaît un verre d'eau glacé à la main. Elle le verse sur la tête de Sam qui devient bleu puis aurait hurlée si Andréa ne lui avait pas mis la main sur la bouche. Cette dernière s'excuse en disant que c'était la seule chose capable de me réveiller. Nous nous sommes équipées de lampes de poches et d'un appareil photo. Nous sommes sorties de la chambre, avons traversé le couloir, descendu les escaliers (on s'est retrouvées à l'étage des garçons), avons encore descendu les marches sous les ronflements (très discrets ! ) des garçons et nous sommes passées à côté de la chambre de Bart (qui ronflait lui aussi ).
Les autres professeurs dorment au-dessus de l'étage des filles.
Nous nous sommes retrouvées dans le self.
Soudain un grincement retentit et nous nous sommes retournées toutes les deux. Une énorme lueur nous éblouit …
A suivre…