Anneau d'invisibilité
C'était un dimanche matin de printemps où ma maman m'avait demandé de ranger le grenier. C'était donc en plein rangement et nettoyage lorsque je suis tombé sur un anneau de couleur rouge. Il n'était pas plus gros que mon annulaire.
Dés que je pris l'anneau j'ai eu une sensation étrange et ne sachant pas quoi en faire je le mis à mon doigt... c'est là que tout commença.
Sur le moment, je ne me rendis compte de rien. Ce n'est que lorsque mon petit frère arriva que je m'aperçus que j'étais devenu invisible. En effet ce dernier entra dans le grenier en criant mon nom dans chaque recoin alors que j' étais juste à coté de lui. Sur le moment j'eus un peu peur, mais très vite, je profitais de la situation pour lui jouer un petit tout : je me baissais et lui attachais ses lacets ensemble. Immobile, un peu désemparé que je ne fus pas dans le grenier sans qu'il ne me sentit ou me vit. Mes parents l'entendent crier mon nom : ils lui demandèrent de s'arrêter et de descendre, ce qu'il s'empressa de faire mais ses chaussures étaient attachées entre elles... Il tomba de tout le long sans savoir ce qu'il lui arrivait. C'est à ce moment que mes parents montèrent et le trouvèrent par terre. Je continuais à m'amuser à tirer les cheveux de ma mère, tout en pinçant la joue de mon père. C'était très drôle de les voir se tortiller lorsque je les « titillais». Après avoir bien rigolé, je décidai de quitter l'anneau et de leur expliquer la blague que je venais de leur faire.
Cet anneau magique m'avait permis de m'amuser un court instant et d'en rire encore chaque fois que l'on en reparle avec mes parents et mon frère.
Anaïs 5ème 1 et Théo 6 ème 2
Dés que je pris l'anneau j'ai eu une sensation étrange et ne sachant pas quoi en faire je le mis à mon doigt... c'est là que tout commença.
Sur le moment, je ne me rendis compte de rien. Ce n'est que lorsque mon petit frère arriva que je m'aperçus que j'étais devenu invisible. En effet ce dernier entra dans le grenier en criant mon nom dans chaque recoin alors que j' étais juste à coté de lui. Sur le moment j'eus un peu peur, mais très vite, je profitais de la situation pour lui jouer un petit tout : je me baissais et lui attachais ses lacets ensemble. Immobile, un peu désemparé que je ne fus pas dans le grenier sans qu'il ne me sentit ou me vit. Mes parents l'entendent crier mon nom : ils lui demandèrent de s'arrêter et de descendre, ce qu'il s'empressa de faire mais ses chaussures étaient attachées entre elles... Il tomba de tout le long sans savoir ce qu'il lui arrivait. C'est à ce moment que mes parents montèrent et le trouvèrent par terre. Je continuais à m'amuser à tirer les cheveux de ma mère, tout en pinçant la joue de mon père. C'était très drôle de les voir se tortiller lorsque je les « titillais». Après avoir bien rigolé, je décidai de quitter l'anneau et de leur expliquer la blague que je venais de leur faire.
Cet anneau magique m'avait permis de m'amuser un court instant et d'en rire encore chaque fois que l'on en reparle avec mes parents et mon frère.
Anaïs 5ème 1 et Théo 6 ème 2