Les collégiennes au quotidien
Samantha et Andréa sont devant l'aile droite lorsque la lampe d'Andréa nous a lâché … et une étrange lumière nous a éclairées …
« Hé ! nous dit Laura, une fille de notre classe et aussi la fille du proviseur. »
Elle avait les cheveux lisses et brun caramel, les yeux bruns et la peau bronzée. L'étrange lumière venait de son téléphone. Laura proposa de nous accompagner, et nous acceptâmes.
Nous sommes montées dans les étages, mais ceux-ci étaient remplis d'une dizaine de suites style renaissance (composé chacune d'une chambre à coucher et d'une salle de bain). Puis nous sommes descendus au rez de chaussée, prêtes à repartir lorsqu' Andréa s’appuya sur une cloison sans intérêt apparent et... la cloison s'ouvrit.
Derrière se trouvait un escalier en colimaçon qui descendait dans les profondeurs du bâtiment. Nous avons voté pour savoir si on descendait ou non. Laura et Andréa étaient pour, moi, j'étais contre car il était déjà trois heures. Mais nous sommes quand même descendues. En bas se trouvait un petite porte verrouillée de l’intérieur. Laura voulait que je l'ouvre et Andréa qui avait emmené son mp3, s'endormit. Comme je sais ouvrir toutes les portes, j'ai ouvert celle-ci. En l'ouvrant nous poussâmes un petit cri qui réveilla Andréa. Nous avons découvert une petite pièce avec des meubles qui datait de la seconde guerre mondiale.
Au milieu de la pièce se trouvait une petite table avec un journal dessus. Les autres ne semblaient pas l'avoir remarqué. Je l'ai ouvert à la première page, il y avait d'écrit :
Journal de Jean Molonardyne.
Né le 30 août 1929 de Charlotte Bettina et de Édouard Molonardyne.
Pff … le truc bien barbant, quoi …
Soudain Andréa s'écria :
« Il est 3 h 30 il faut se dépêcher, car les femmes de ménages arrivent à 4 h, les profs se lève à 6 h et les cours commencent à 8h et on est obligé de se lever au plus tard à 6 h 30 et d'être descendu au self à 7 h maximum. »
On est remonté en troisième vitesse, on a refermé la porte. On est remonté dans notre chambre (j'ai emporté le journal de Jean (je sais pas pourquoi, je l'appelle comme si on s'était toujours connu) ça peux toujours servir (en histoire par exemple) mais je n'ai rien dit au autres.)
On est arrivées saines et sauves dans nos chambres. On a pu dormir un petit peu avant que les cours du vendredi commencent.
Quelques heures plus tard …
Les professeurs nous on réunis dans le grand hall. On était tous assis par terre, sauf les professeurs qui était assis sur les marches.
Le proviseur nous regardait d'un air noir …
A suivre …
Samantha et Andréa sont devant l'aile droite lorsque la lampe d'Andréa nous a lâché … et une étrange lumière nous a éclairées …
« Hé ! nous dit Laura, une fille de notre classe et aussi la fille du proviseur. »
Elle avait les cheveux lisses et brun caramel, les yeux bruns et la peau bronzée. L'étrange lumière venait de son téléphone. Laura proposa de nous accompagner, et nous acceptâmes.
Nous sommes montées dans les étages, mais ceux-ci étaient remplis d'une dizaine de suites style renaissance (composé chacune d'une chambre à coucher et d'une salle de bain). Puis nous sommes descendus au rez de chaussée, prêtes à repartir lorsqu' Andréa s’appuya sur une cloison sans intérêt apparent et... la cloison s'ouvrit.
Derrière se trouvait un escalier en colimaçon qui descendait dans les profondeurs du bâtiment. Nous avons voté pour savoir si on descendait ou non. Laura et Andréa étaient pour, moi, j'étais contre car il était déjà trois heures. Mais nous sommes quand même descendues. En bas se trouvait un petite porte verrouillée de l’intérieur. Laura voulait que je l'ouvre et Andréa qui avait emmené son mp3, s'endormit. Comme je sais ouvrir toutes les portes, j'ai ouvert celle-ci. En l'ouvrant nous poussâmes un petit cri qui réveilla Andréa. Nous avons découvert une petite pièce avec des meubles qui datait de la seconde guerre mondiale.
Au milieu de la pièce se trouvait une petite table avec un journal dessus. Les autres ne semblaient pas l'avoir remarqué. Je l'ai ouvert à la première page, il y avait d'écrit :
Journal de Jean Molonardyne.
Né le 30 août 1929 de Charlotte Bettina et de Édouard Molonardyne.
Pff … le truc bien barbant, quoi …
Soudain Andréa s'écria :
« Il est 3 h 30 il faut se dépêcher, car les femmes de ménages arrivent à 4 h, les profs se lève à 6 h et les cours commencent à 8h et on est obligé de se lever au plus tard à 6 h 30 et d'être descendu au self à 7 h maximum. »
On est remonté en troisième vitesse, on a refermé la porte. On est remonté dans notre chambre (j'ai emporté le journal de Jean (je sais pas pourquoi, je l'appelle comme si on s'était toujours connu) ça peux toujours servir (en histoire par exemple) mais je n'ai rien dit au autres.)
On est arrivées saines et sauves dans nos chambres. On a pu dormir un petit peu avant que les cours du vendredi commencent.
Quelques heures plus tard …
Les professeurs nous on réunis dans le grand hall. On était tous assis par terre, sauf les professeurs qui était assis sur les marches.
Le proviseur nous regardait d'un air noir …
A suivre …